jeudi 9 février 2012

Les valves cardiaques

Les patients atteints de prothèses valvulaires cardiaques in situ peut exiger à long terme anticoagulation128 pour réduire le risque d'embolie systémique. Valvules cardiaques mécaniques exigent à long terme pour l'anticoagulation visant un INR de 3-4 avec des vannes de première génération et 2,5-3,5 avec les nouvelles prothèses valvulaires génération. Chez un patient avec une prothèse valvulaire cardiaque déjà établi sur l'anticoagulation qui souffre d'un AVC ischémique, il ya clairement des risques potentiels associés à l'anticoagulation continue qui doivent être équilibrés contre le risque d'embolie systémique plus loin dans l'absence d'anticoagulation. Aucun ECR n'a été identifié qui s'est penchée sur l'efficacité de l'anticoagulation chez les patients avec des valves cardiaques prothétiques après un AVC. Une série de cas prospective a identifié une probabilité d'événements ischémiques après l'arrêt de la warfarine à 2,9% à 7 jours, et dans une série de 52 patients, aucun cas de l'hémorragie intracérébrale récurrente ont été identifiés après le redémarrage de l'anticoagulation au jour 7 ou 14. Le risque de transformation hémorragique de l'infarctus est difficile à calculer et le GDG a convenu que, en l'absence d'un algorithme de risque de la décision sur l'opportunité de poursuivre le traitement anticoagulant dépend de la gravité de l'AVC avec le risque de thrombo-embolie chez un individu. Chez les patients ayant subi un AVC majeur et un risque significatif de l'anticoagulation transformation hémorragique doit être interrompue pendant les 14 premiers jours de traitement et l'aspirine substitués. L'addition ultérieure de l'aspirine ou le dipyridamole à libération modifiée à l'anticoagulation doit être envisagée chez les patients qui souffrent d'embolie systémique, malgré l'intensité de l'anticoagulation adéquate.

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